La mère que l'on voit danser
Tu la regardes
Elle, toujours si belle,
Mais elle t’ignore
Et toi, tu pleures.
Bien que tu parades
Fleur de jouvencelle,
Elle te blesse encore
Et te brise le cœur.
Oui, elle est ta mère.
En ton âme amère
Fleurit la colère.
Ne la laisse pas faire.
Tout ça, c’était hier.
Oublie ces chimères
Qui te privent d’air.
Regarde en l’air
Tu es un phénix
Un astre que l’on fixe
Une chrysalide
Prête à sortir du vide
Regarde plus loin
Poursuis ton chemin.
Laisse la partir
Et cesse de souffrir
Maridan 17/03/2016
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